ou les souvenirs d’un alerte octogénaire de Bischwiller
Mémoires de Paul Schmitt racontés à ses enfants,
petits enfants, neveux, nièces, etc.
Avant propos
Ces mémoires ont été écrits quelques mois avant que Paul Schmitt ne fête ses quatre-vingt printemps. Bien lui en prit. Quelque temps plus tard, il aurait été trop tard.
Ils les a laissés en héritage à ses enfants, à qui il les destinait prioritairement. Mais, devant le peu de souvenirs écrits laissés par ses frères et sœurs, des voix familiales et familières se sont élevées et ont souhaité pouvoir les consulter. Pour tous ceux qui l’ont bien connu (et parfois supporté !), on peut légitimement penser qu’il n’aurait certainement pas vu d’inconvénient à ce que ces souvenirs franchissent les limites de la cellule familiale directe. Ni surtout qu’ils soient offerts à la lecture des proches parents : pour certains, ceux-là mêmes qui ont vécu – directement ou indirectement – les événements qui sont décrits.